Posted on 02/09/2016 1:47:48 PM PST by WhiskeyX
Paul Dukas (1865-1935) (France) Symphonie en ut majeur (1896) 1/3 **MUST HEAR** Dir : Armin Jordan
1- Allegro non troppo vivace, ma con fuoco (14.52)
Après avoir été un élève médiocre au Conservatoire, Paul Dukas écrivit le plus célèbre (et l'un des meilleurs) poème symphonique français : « L'Apprenti Sorcier » (1897). Parce qu'il n'avait pas obtenu le Grand Prix de Rome à cause de Charles Gounod, il devint le protégé de Camille Saint-Saëns, ce qui le dédommagea. Dans son Histoire de la musique, Emile Vuillermoz écrit : « musicien d'élite, qui, dans notre époque friande de querelles esthétiques, de polémiques et de controverses, aura joui du privilège unique de n'être discuté par personne. En pleine mêlée, les combattants de tous les partis ont déposé les armes pour saluer sa maîtrise souveraine. [...] Il y a en lui des attitudes qui évoquent le souvenir de Franck, de Magnard et de d'Indy et pourtant sa musique échappe à toute influence directe des maîtres qui furent ses meilleurs amis. Travaillant dans un volontaire isolement, jaloux de sa liberté, plus sauvage encore que Debussy, il a ciselé dans la solitude et le silence des chefs-d'Åuvre dans lesquels un souci de la forme impeccable, le choix d'une matière sonore somptueuse et le sang-froid d'une volonté réfléchie composent une synthèse que l'on pourrait qualifier de parnassienne. » Sa « Symphonie en ut majeur » (1896), d'un lyrisme toujours maîtrisé qui doit beaucoup à César Franck, renferme l'un des plus sublimes "Andante" jamais composés. A propos de cette symphonie, Dukas se contenta de dire dans sa notice autobiographique : « En 1897 je donnai à l'Opéra une symphonie en trois mouvements qui fut fortement discutée ».
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Paul Abraham Dukas (French: [dykas]; 1 October 1865 â 17 May 1935) was a French composer, critic, scholar and teacher. A studious man, of retiring personality, he was intensely self-critical, and he abandoned and destroyed many of his compositions. His best known work is the orchestral piece The Sorcerer's Apprentice (L'apprenti sorcier), the fame of which has eclipsed that of his other surviving works. Among these are the opera Ariane et Barbe-bleue, a symphony, two substantial works for solo piano, and a ballet, La Péri.
At a time when French musicians were divided into conservative and progressive factions, Dukas adhered to neither but retained the admiration of both. His compositions were influenced by composers including Beethoven, Berlioz, Franck, d'Indy and Debussy.
In tandem with his composing career, Dukas worked as a music critic, contributing regular reviews to at least five French journals. Later in his life he was appointed professor of composition at the Conservatoire de Paris and the Ãcole Normale de Musique; his pupils included Maurice Duruflé, Olivier Messiaen, Manuel Ponce, and JoaquÃn Rodrigo.
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https://en.wikipedia.org/wiki/Paul_Dukas
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Ut has always been my favorite key :-)
Dukas probably could have been to France what Brahms was to Germany, if he hadn’t thrown away 90% of what he wrote.
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